Rater sa rentrée ? Et alors !

On te l’avait vendu comme LE moment clé : nouvelle école, nouvelle alternance, nouveau départ… Sauf que toi, ta rentrée ressemble plutôt à un épisode raté de sitcom :

  • Tu n’as pas trouvé d’alternance à temps,
  • Ton emploi du temps change toutes les deux heures,
  • Tu cours après des papiers administratifs introuvables.

Résultat : tu as l’impression d’avoir foiré ton “grand départ”.

Spoiler : ben non !

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1. Personne n’a une rentrée “Pinterest”

Les réseaux sociaux mentent (encore).

Non, tout le monde n’a pas un bureau Instagramable, un tuteur génial et des collègues trop cools.

La rentrée, c’est souvent du stress, des imprévus, du flou. Et ça… c’est triste mais c’est normal.

2. La rentrée ≠ toute ton année

Ce n’est pas parce que tu démarres en retard, à l’arrache ou dans un stage qui n’est pas le rêve de ta vie… que ton année est foutue.

  • Beaucoup trouvent leur alternance en octobre/novembre,
  • Tu peux pivoter, changer, rebondir,
  • Ce qui compte, ce n’est pas le départ parfait, c’est la trajectoire que tu construis.

3. Rater = apprendre (même si ça pique)

Tu te plantes ? Tant mieux, tu sais déjà ce que tu ne veux pas..

Tu galères à suivre ? Tu apprendras à demander de l’aide.

Tu prends un chemin de traverse ? Si tu sais l’exploiter, il t’amènera souvent plus loin que prévu.

Jeunes-travaillant-ensemble

4. Transformer le flop en force

Un recruteur préfère quelqu’un qui sait dire :
“J’ai galéré à la rentrée, mais j’ai appris à rebondir et à m’organiser”
… qu’un CV trop lisse où tout semble parfait.

✨ À retenir

  • Une rentrée “ratée” ne dit rien de ton avenir,
  • Tes détours, tes flops, tes galères sont aussi des apprentissages,
  • Ce qui compte, c’est la suite. Toujours.

Bref : arrête de te flageller, relève la tête et avance. Même les meilleurs coureurs trébuchent au départ… et gagnent quand même la course 🏃‍♀️💨.